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1105-Palmarès Dictées en Lorraine  -  par AnimJasette
 Nous avons grand plaisir - et une vraie fierté - de diffuser le...

PALMARÈS 2011 DES DICTÉES FRANCOPHONES SCOLAIRES
EN LORRAINE

et cette année est encore un très bon cru ! 

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Mais surtout,
on croise les doigts et on espère beaucoup,
dans chacune des catégories,
en attendant le classement national
dont nous vous informerons mi-juin...

Mais, comme prévu,
chaque établissement scolaire ayant participé
recevra très prochainement
un "envoi récompense"
 de la part de
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Publié le 10/05/2011 : 19:43  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Prévisualiser...   Imprimer...   Haut
1104-Mon arrivée en Nlle France  -  par _Gros_Pierre
Arrivée d’un étudiant français
en Nouvelle France
Septembre 1965

&&&&&&&&&

 
longchaumois.jpg 
(Village de Longchaumois - Haut Jura - France)

Dix heures de train de mon petit village du Haut-Jura pour gagner l’aéroport d’Orly (le TGV et Roissy n’existaient pas encore !)....

valise.jpg Dans ma valise noire, achetée pour l’occasion,
des biens de première nécessité et surtout,
enveloppés dans du papier kraft,
les caleçons longs "Damart" en thermolactyl
et deux paires de chaussettes en laine chinée verte,
tricotées par une vieille dame du village...

"C’est par les pieds qu’on attrape le mal !"

 m’avait dit ma mère qui, institutrice, et connaissant par cœur
l’histoire et le géographie de son pays,

savait que je me rendais
dans un
« pays de glaces Â»
glacons.jpg

DC8.jpg Le DC8 d’Air Canada jusqu’à Dorval, puis l'autobus « Le Voyageur Â» pour me rendre à Québec. Nous étions le premier dimanche du mois de septembre 1965. Je venais au Québec comme boursier du Conseil des Arts du Canada, pour exercer la fonction d’ assistant au département de chimie de l’université Laval.
Quelle aventure !
Quand j’avais annoncé à ma mère que je m’éloignais d’elle, mettant cinq mille kilomètres et un océan entre nous, elle s’était écriée que j’étais inconscient d’aller dans « un pays où des sauvages à moitié nus parcouraient les villes, des panaches de plumes sur leurs têtes Â» (Elle n’ était quand même pas allé jusqu’ à parler de scalps !)

douanier.jpg A Québec, passage au bureau de l'immigration pour accomplir les formalités administratives avec l’officier Monsieur André Champagne, dont la première parole fut, voyant que j’étais Français :
 Â« Vous nous avez laissé tomber en 1759 ! Â».
Heureusement que j’avais révisé sommairement l’histoire de la Nouvelle France, car je n’ aurais jamais su que ce monsieur faisait allusion à la bataille des plaines d’Abraham qui sonna le glas de la conquête française ! Je bafouillai le nom de Montcalm, mais je devinai dans ses yeux toute la rancœur qu’il éprouvait envers la mère patrie. Aujourd’hui, avec un recul de quarante-cinq ans, la portée et la densité de la devise du Québec « Je me souviens ! Â»

drapeau.jpg

parents.jpg
(Pavillon Parent)
Prise de possession de ma chambre au pavillon Parent de la Cité Universitaire... Rien ne ressemble plus à une chambre d’étudiant qu’une autre chambre d’étudiant, même à cinq mille kilomètres de distance, sauf qu’ au lieu de me retrouver dans 12 m2 en France, je m’installais ici dans 25 m2, avec de « vrais» placards et des rayonnages pour ranger mes affaires, un espace cuisine par étage, non réduit à la portion congrue, une buanderie avec des laveuses et sécheuses de grande capacité.
Première nuit réparatrice dans mon nouveau logis.
Le lendemain matin, réveil par un soleil éblouissant inondant la fenêtre ( J’avais demandé et surtout obtenu une chambre au soleil levant), un ciel bleu d’une pureté extraordinaire. Une douche rapide, petit-déjeuner à la cafétéria avec œufs au bacon et crêpes nappées de sirop d’érable, puis le bus de Sainte-Foy pour le centre ville



youville.jpg
(photo du carré d'Youville)


Descente au carré d’Youville (pas le Square !), premiers léchages de vitrines, parcours dans de petites rues pittoresques, découvertes de monuments et de statues, très peu de monde dans les rues. Je me rendis compte tout d’un coup que les magasins étaient fermés ! J’essayai de deviner pourquoi, puisant des indices dans ma mémoire historique, et ne voulant pas rester sans réponse, j’avisai une jeune fille (ce n’ était pas innocent !) pour lui demander pourquoi ce jour paraissait férié. Elle éclata d’un rire sans retenue et me répondit : 
«  Maudit   França d’ niaiseux , t’ sé pas qu’ icitte, l’ premier lundi du mois d’ septemb’, c’ est congé, c’ est la fête du travail ! Â». Et elle reprit son chemin d’un air superbe et dominateur en me laissant dans un abîme de réflexions, me demandant pourquoi cette fête n’avait pas lieu au Québec le premier mai comme en France, en l’honneur de ces travailleuses américaines qui, pionnières, avaient voulu soulever le joug imposé par leurs patrons... 

Je trouvai un unique restaurant, en bas de la côte de la Fabrique, avec les banquettes collantes en skaï, les nappes réclames en papier, les récipients de ketch-up et de moutarde douce, et un éclairage blafard au néon qui vous donne une mine de papier mâché. Je me tapai le premier T-Bone de ma vie, énorme, un pouce d’ épaisseur (2,54 cm), juteux, cuit à point, avec trois boules de patates pilées (purée servie comme des glaces), de la « relish Â» ( assaisonnement de cornichons et herbes hachés, macérés dans le vinaigre),
accompagné d’ une pinte (50 cl) de bière « Labatt Â» :
quelle belle initiation aux mesures anglo-saxonnes !
t_bone.jpg


abraham.jpg
(photo des plaines d'Abraham
Les pas et les yeux lourds, je me dirigeai vers
les plaines d’Abraham pour revivre ce moment d’histoire que Monsieur Champagne
m’ avait remis en mémoire.

La température était douce, un léger vent apportait une fraîcheur bienfaisante. Je m’étendis sur la pelouse.
Le charme fit son effet et je m’endormis en reniflant
les odeurs d’herbes coupées, en captant les moindres sons, dont les ronronnements des moteurs V8
des grosses voitures américaines décapotables
qui montaient la côte... 


Quand je refis surface, quelques heures plus tard, je me dis que j’avais beaucoup de chance !

 

Pierre Michaud (Lorraine-Québec)

Paris, le 7 mars 2004   

Publié le 19/04/2011 : 11:22  - 1 commentaire - 1 commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Prévisualiser...   Imprimer...   Haut
1104-Club Littéraire  -  par Raymonde_MICHAUD


clublitt0.jpgLe « club littéraire Â» de Lorraine-Québec vient de se constituer à l’initiative de quelques membres de l’association et s’est réuni pour la première fois le mercredi 20 avril dernier. Il vous adresse son compte-rendu des échanges sur le thème du jour « Origines de la littérature canadienne et québécoise Â» sous la plume de Raymonde MichaudÂ…
Grand merci à elle.

 

Club littéraire

Association Lorraine-Québec

Camille_Roy.jpg Au début du XXème siècle, Camille Roy est l’auteur d’un manuel d’histoire de la littérature canadienne-française qui fait autorité jusque vers 1950.

Plus tard, au cours de la révolution tranquille, la question nationale se fait plus urgente que jamais, la littérature devenant l’expression d’un Québec en effervescence.

 

D’une époque à l’autre, l’histoire littéraire du Québec s’accompagne inévitablement de la référence nationale, peu importe si l’on parle de littérature canadienne, de littérature canadienne-française ou, comme ce sera le cas à partir du milieu des années 1960, de littérature québécoise. Notons que, si elle est relativement récente, l’expression littérature québécoise ne désigne pas seulement la littérature contemporaine, mais s’emploie rétroactivement pour parler de l’ensemble de la littérature du Québec depuis les premiers écrits de la Nouvelle-France, c’est-à-dire récits de voyages, histoire de la fondation et correspondances.






En 2007,
Michel BironFrançois Dumont
et Elisabeth Nardout-Lafarge
réalisent un travail qui constitue à la fois
une mise en situation et une relecture
des textes littéraires québécois,
des origines à nos jours.
h_littQc.jpg
 

Embrassant l’ensemble des textes littéraires depuis la Nouvelle-France, les auteurs dessinent le portrait de la littérature québécoise en s’attachant aussi bien à la singularité des œuvres qu’aux transformations du contexte dans lequel elles s’inscrivent. C’est dans ce livre que j’ai puisé les informations que je vous transmets.    

Dans l’historiographie littéraire du Canada, il existe, comme on le sait, deux ensembles parallèles : d’un côté, l’histoire littéraire canadienne qui englobe en général la littérature de langue anglaise écrite par des Québécois, tout en excluant la littérature québécoise de langue française ; de l’autre côté, l’histoire littéraire québécoise, qui intègre l’ensemble de la littérature canadienne française, en excluant la littérature de langue anglaise écrite par des Québécois. Il y a certes des exceptions, mais l’usage s’est installé, sans qu’on sache trop s’il se justifie pour des raisons esthétiques ou pour des raisons idéologiques.

Par ailleurs, la question des frontières se pose également dans le cas des écrivains de langue française hors Québec. En évoquant la littérature acadienne et la littérature franco-ontarienne qui défendent leur autonomie, nous avons voulu souligner les liens qui unissent les littératures issues du Canada français.

____________________________________________________________________

Au total, il existe cinq grandes périodes.

La première période va du début à la fin de la Nouvelle-France (1534-1763), époque à laquelle les écrits s’adressent à la métropole française et entretiennent des rapports étroits avec la colonie.
 
La deuxième période qui va de 1763 jusqu’à 1895, est associée au projet national qui rallie la plupart des écrivains.
A partir de 1895, qui marque le début de l’Ecole Littéraire de Montréal, la littérature fait l’objet de débats de plus en plus âpres entre les parisianistes ou les exotiques et les défenseurs du régionalisme. Le conflit entre l’ici et l’ailleurs, qui sous-tend toute cette troisième période, se comprend mieux toutefois si on le subdivise en  deux sous-périodes : la première (1895-1930) s’articule autour du nouvel attrait exercé par Paris sur les écrivains et les intellectuels québécois ; la deuxième (1930-1945) se définit par une vison plus pessimiste, celle d’un monde en crise qui culmine au moment de la seconde guerre mondiale.

Au lendemain de ce conflit, la situation change profondément et, dans ce qui constitue une quatrième période, on voit s’élaborer un grand projet, celui d’inventer   la littérature qu’on appellera québécoise. Ce grand projet devient le lieu de rencontre de l’ensemble des textes littéraires, de 1945 à 1960, mais de façon si variée qu’il importe d’introduire, ici encore, des subdivisions : de 1945 à 1960, la littérature revendique son autonomie, d’abord face à la France, et puis en tant qu’activité esthétique ayant sa légitimité en elle-même et voulant se donner les moyens matériels (édition, enseignement, etc.) de se développer ; de 1960 à 1970, la littérature québécoise s’expose sur la place publique et se situe par rapport aux autres littératures nationales ; de 1970 à 1980, on assiste à une série de ruptures (esthétiques et idéologiques) incarnées notamment par les avant-gardes, sans qu’il y ait de ruptures à proprement parler,

Une cinquième période commence, caractérisée par le décentrement de la littérature et  marquée à la fois par un pluralisme exacerbé et par l’expansion phénoménale de la production littéraire.

 

Le 17 décembre 1844, des étudiants en droit et de jeunes commis-marchands de Montréal créent l’Institut canadien. Les Anglais et les Irlandais de Québec et de Montréal possédaient des associations de ce type depuis déjà plusieurs années (Garneau, par exemple, faisait partie de la fl_d-anim.gif  Literary and Historical Society of Quebec, fondée en 1824), à l’instar des cercles intellectuels qui étaient apparus ux Etats-Unis, en Angleterre et en France depuis le début du siècle. Entre 1840 et 1880 si on tient compte de ces associations anglophones, il y a plus de cent trente associations à vocation intellectuelle dans la région de Montréal, dont la plus active est sans conteste l’Institut canadien. Ni académie, ni salon, ni club, cette association de jeunes gens ressemble à une petite université. L’Institut est divisé à la fin de 1848 en quatre facultés(arts et métiers, sciences physiques, sciences naturelles et lettres) et se distingue avant tout par sa bibliothèque unique en son genre, qui regroupe non seulement une importante quantité de livres, dont plusieurs sont condamnés par Rome, mais aussi une remarquable collection de journaux. En 1858, la bibliothèque compte plus de quatre mille volumes et reçoit une centaine de journaux et de périodiques locaux et étrangers. C’est d’ailleurs la bibliothèque de l’Institut qui est la cible principale du clergé.

Rien de tel n’existait auparavant au Bas-Canada du côté français (la bibliothèque publique de Montréal étant réservée à ses souscripteurs), alors que les Montréalais de langue anglaise pouvaient compter, eux, sur une bibliothèque publique depuis les années 1820. L’Institut veut cependant être davantage qu’un cabinet de lecture : il se présente comme un forum de discussion, un lieu de débat qui se détourne de l’héritage classique pour accorder toute son attention aux enjeux pratiques de la vie moderne. Comme partout ailleurs, on y est naturellement patriote. A ses débuts, sa constitution exclut même tous ceux qui ne sont pas canadiens-français.

Emile_Nelligan.jpg Il y eu un esprit « fin de siècle Â» au Québec comme il y en a eu un en Europe.

Même s’il s’est limité à des revues marginales et n’a pas produit d’œuvres importantes en dehors de celle de 
fl_d-anim.gif  
Nelligan,  il n’en a pas moins existé et permet justement d’expliquer l’arrivée soudaine de l’auteur du fl_d-anim.gif Â« Vaisseau d’Or Â» ,qui autrement semblerait surgir de nulle part...

 La culture du siècle s’apparente à une forme de loisir luxueux et constitue un signe, parmi d’autres, de l’essor d’une bourgeoisie francophone en mal de divertissement. Le théâtre, l’opéra, le vaudeville ou le burlesque rythment la vie urbaine au même titre que les concerts au parc Sohmer ou les nouvelles activités sportives qui passionnent cette bourgeoisie. C’est aussi au moment où émerge cette classe bourgeoise que se développe une poésie nouvelle, tournée vers la célébration de l’art. Cette fonction proprement esthétique accordée à la poésie, et plus généralement à la littérature dans son ensemble, semble répondre au besoin de créer une « Ã©lite intellectuelle canadienne-française Â».


Fondée en 1895, formée d’anciens étudiants,  du Collège Sainte-Marie, l’Ecole littéraire de Montréal ne vise pas à provoquer la bourgeoisie bien-pensante mais simplement à créer un cénacle de poètes à Montréal. Ils se réunissent dans la maison de l’un ou de l’autre, dressent des procès-verbaux de leurs réunions, veulent se faire connaître et publient leurs poèmes dans des journaux comme « le Monde illustré Â». Leur ambition n’est pas que littéraire : comme d’autres écrivains avant eux, ils espèrent aussi contribuer à améliorer la langue écrite et parlée à Montréal, largement contaminée, selon eux, par l’anglais.
 

L’Ecole littéraire cherche par là à s’intégrer dans l’élite cultivée de Montréal. Elle ne se présente pas comme une avant-garde et ne sacrifie pas longtemps au rituel contestataire de la bohème. Ses principaux membres ne sont pas de marginaux et des révoltés, mais des bourgeois respectables. Aucun de ces poètes en herbe ne publiera le moindre recueil avant la dissolution provisoire de l’Ecole littéraire en 1899, mais ils constituent un milieu grâce auquel un jeune poète comme Nelligan à pu se faire connaître.

 
Avec Nelligan, la poésie change de registre pour devenir « de la musique avant toute chose Â», comme chez Verlaine. Voué au seul exercice de la poésie, Nelligan fait de celle-ci un sacerdoce à la façon des écrivains romantiques et de leurs successeurs parnassiens. La critique le présente souvent, pour aller vite et le situer dans l’histoire littéraire en général, comme le Rimbaud québécois. 

________________________________________________

fl_d-anim.gif  
Les auteurs étudiés
  / F-A Savard / Michel Tremblay / Louis Hémon / Emile Nelligan
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Publié le 18/04/2011 : 11:46  - 2 commentaires - 2 commentaires - Voir? Ajouter le vôtre ?   Prévisualiser...   Imprimer...   Haut
1104-Prix Littéraire 2011  -  par AnimJasette
 Des trois ouvrages québécois sélectionnés sont :


fl_d-anim.gif  "Rivière Mékistan" de Lucie Lachapelle (XYZ éditeurs)

fl_d-anim.gif  "La petite et le Vieux" de Marie-Renée Lavoie (XYZ éditeurs)

fl_d-anim.gif  "Attraction terrestre" d'Hélène Vachon (Alto édition).

C'est "RIVIÈRE MÉKISTAN" QUI A ÉTÉ CLASSÉ 1ÈRE PAR LES LECTEURS DE FRANCE-QUÉBEC.
 

 
_____________________________

Si vous êtes intéressés(es) par le lecture de ces ouvrages,
contactez notre fl_d-anim.gif  "Comité de Lecture"

L_ComLect.gif
Publié le 18/04/2011 : 11:12  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Prévisualiser...   Imprimer...   Haut
1104-Conférence à Maron  -  par AnimJasette
mar01.jpg

Un bon petit groupe d’habitants de Maron (54) s’étaient rendus ce vendredi soir à la salle polyvalente installée dans l’ancienne gare du village à l’invitation de Lorraine-Québec et de Michel Schluck, autochtone hybride de Lorrain et de Québécois !

mar02.jpg
 

Les quelques 160 images ou cartes de ce montage de présentation de la « Belle Province Â», pilotées par Jean-Luc et explicitées par un commentaire original mais précis de notre intarissable conférencier, ont retenu l’attention de tous les présents, de la plus petite qui ne s’est pas endormie au plus âgé…

Il faut dire que « not’ Michel Â» en « connaît un rayon » à propos du Québec et qu’il est capable d’ajouter une « petite joke Â» pour dynamiser son proposÂ… 

du type :  Â« T'as un flat à ton tire, m'a t'le patcher avec du stuff Â»Â…
Comprenne qui pourra !!!

mar03.jpg

Après deux bonnes heures d’échanges, des applaudissements nourris ayant remercié les « conférenciers Â», l’association aura gagné 2 nouveaux adhérents et aura permis à chacun d’emporter pour les déguster quelques uns des produits québécois que nous leur proposionsÂ…
Publié le 18/04/2011 : 10:37  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Prévisualiser...   Imprimer...   Haut
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